Rues et quartiers d’Aouste sur Sye
La découverte des rues et des quartiers d’Aouste sur Sye (Drôme) avec leurs situations et leurs histoires. Comment ont-ils été nommés.
Sommaire
Histoire de nos rues
Rues, quartiers et lieux-dits aux XVII°et XVIII° siècles
Liste des rues et quartiers
- 19 Mars 1962 (Rue du)
A
- Adrien Pinet (Chemin)
- Allée (Rue de l’)
- Allée du Signal (Lotissement l’)
- Amédée Terrail (Avenue)
- Anges (Place des)
- Antoine Tavan (Rue et impasse)
- Aouste (Plan d’)
- Arras (Chemin des) (Bas Arras)
- Aubes (quartier)
- Augusta (Via)
- Auguste Chenu (Rue)
B
- Beausoleil (Lotissement)
- Balcons de la Sye (lotissement)
- Berton de Saut (Rue)
- Blacons (Route de)
- Bois Vieux (chemin de)
- Bories (Chemin des) et (Route des)
- Boulards (Rue des)
C
- Calvaire (Rue du)
- Cedres (Impasse des)
- Chabanas (Quartier)
- Chanteloube (Quartier)
- Chapoutat (Lotissement)
- Charancon (Rue de)
- Charles Chapoutat (Rue)
- Charpentier (Rue du)
- Cimetiere (Route du)
- Citadelle (Passage de la)
- Cobonne (Route de)
- Combe Plane (Quartier)
- Condamine (Route de la)
- Cordonnier (Rue du)
- Cornerets (Quartier)
- Crest (Route de)
- Croisière (Rue de la)
- Croix (Rue de la)
D
- Droits de l’Homme (Rue des)
- Devès (Chemin du)
E
- Édouard Athénor (Rue)
- Egalité chemin de )
- Eglise (Place de l’)
- Enfers (Rue des)
- Enjaury
F
- Facteur (Rue du)
- Ferrande (Quartier)
- Fifre (Rue du)
- Fontagnal (Chemin de) (Quartier)
- Francois Bernard Charmois (Place)
- Frênes (Allée des)
G
- Gabriel Bonnard (Place)
- Gare (Rue de la)
- Gaye (Quartier de la)
- Grande Rue (Grande rue)
- Gustave Gresse (Rue)
H
- Haut Arras (Rue du)
- Hôpital (Rue de l’)
I
- Ile (Chemin de l’)
- Iris (chemin des)
J
- Jardins (Rue des)
- Jury (Quartier)
L
- La Bleue (Quartier)
- La Condamine (Quartier)
- La Loziere (Quartier)
- La Peyrolle (Quartier)
- La Pialle (Quartier)
- La Serpentine
- Lassaumes (Quartier)
- Lavoir (Rue du)
- le Mourier (Quartier )
- Le Plan
- Le Pont Bossu (Quartier)
- Le Pourret (Quartier)
- Les Arras (Quartier)
- Les Aubes (Quartier)
- Les Bas Arras (Quartier)
- Les Bories (Quartier)
- Les Gardettes (Quartier)
- Les Gres (Quartier) ?
- Les Hauts Arras (Quartier)
- Les Hubacs (Quartier)
- Les Plantas (Quartier)
- Les Rapaillens (Quartier)
- Les Rouveyres (Quartier)
- Les Terrasses (Quartier et lotissement)
- Lotissement l’Eau Vive
- Lotissement l’Huilerie
- Lotissement le Fleury
- Lotissement le Hameau de Mivoie
- Lotissement les Balcons de la Sye
- Lotissement les Blés d’Or
- Lotissement les Jardins d’Augusta
- Lotissement les Lilas
- Lotissement les Rives du Lauzens
M
- Maillette
- Matelassier (Rue du)
- Melchior des Essarts (Rue)
- Millassoles (Quartier)
- Mivoie (Quartier)
- Modiste (Impasse de la)
- Moirans (Rue des)
- Montvert (Quartier)
- Moulins (Rue des)
N
- Narcisses (Allée des)
- Papeterie (allée de la)
- Pas de Lauzens (Route du)
- Pasteur Boegner (Rue)
- Peyrequatre (Quartier)
- Picouty
- Poste (Place de la)
- Pourret (Chemin du)
- Puy Saint Pierre (Quartier)
R
- Remparts (Rue des)
- Rochecolombe (Impasse)
- Rochefort (Place)
S
- Saint Alban (Quartier)
- Saint Christophe (Quartier)
- Saint Francois (Quartier)
- Saint Pierre (Chemin de) (Quartier)
- Saint Vincent (Quartier) (Chemin de)
- Sauvanes (Quartier)
- Senteurs (Chemin des)
- Simesiane (Quartier)
- Souvion (Quartier)
- Surville (Rue de)
- Sylvestre
- Synagogue (Rue de la)
T
- Tavan (Impasse)
- Terrasses (quartier)
- Tisserand (Rue du)
- Tournepierre (Quartier)
- Traversière (Rue la)
- Trois Balcons (Place et rue des)
- Trois Becs (Rue des)
- Tulipes (Allée des)
V
- Veyou (Rue du)
- Via Augusta
Histoire de nos rues
Adrien Pinet : chemin situé rive gauche de la Drôme en limite de la zone artisanale de la Condamine d’Aouste sur Sye. Rappelle le patronyme d’un résident.
Allée (Rue de l’) : Cette rue longe les anciens remparts nord du village. Elle occupe l’emplacement des fossés nord comblés. Son appellation semblerait indiquait la désignation du passage qui permettait l’accès aux jardins et aux champs. Possible déformation de « alleu » signifiant – une propriété acquise par héritage et libre de toute obligation ou redevance – si l’on en juge par un procès du XVIIIe siècle entre les consuls d’Aouste et Pierre de Sauvain seigneur du Cheylard qui revendiquaient la possession des dits fossés comblés. Par ailleurs dans cette procédure est mentionnée : «un grand passage depuis la porte de Soubreville, qui est vers la rivière de Sye, jusqu’à celle de Saint Cristoffle qui est celle qui va à Crest d’environ 20 pas de large appelé les fossés servant de promenade à Mr de Vachères. … »
Amédée Terrail : avenue et esplanade sur la rive gauche de la Drôme desservant entre autres la mairie et le groupe scolaire Jules Ferry. Ainsi nommée en hommage à l’ancien maire de 1908 à 1924.
Anges (Place des) : place, à l’entrée du quartier des Enfers, ainsi dénommée car sur la façade d’une maison sont gravés des angelots sur la façade au XVIe siècle.
Antariou, Enterriou : quartier situé au sud de la commune, rive gauche. Limité au sud par les Rapaillens, au nord par St Alban, à l’est par Les Terrasses et à l’ouest par les Hubacs. Doit son nom au ruisseau de Millassoles qui le limite à l’ouest (« riou » = ruisseau et « anta » = avant, contre). Attesté depuis 1413 : Anterious (terrier de l’évêché de Die) ; en 1607 : Antarioux et Antherioux (terrier du prieuré de Saillans) ;au XVIIe siècle : le rif d’Enterriou (parcellaire) ; au XIXe siècle : Antaripa et Antariol (plans cadastraux) et en 1891 : Antaripa, quartier et ruisseau de la commune d’Aouste.
Antoine Tavan : (1779-1848) : rue, située rive droite au nord du village, nommée en hommage au maire de 1830 à 1848. Toutefois, le père prénommé aussi Antoine Tavan (1739-1814) a exercé les fonctions de maire d’Aouste de 1800 à 1814.
Arras : Quartier situé au nord du village. Appellation qui semblerait venir du latin « aratio », (labour ; terre cultivée, en particulier terre que les Romains donnaient à cultiver dans les provinces ). Explication plus plausible, en effet c’est dans ce quartier que l’on a découvert la présence d’une importante villa romaine. Attesté en 1413 avec « Larra » (terrier de l’évêché de Die). Ce quartier se scinde en deux avec les Bas Arras et Hauts Arras.
Artigoules : Entigoules au XVIIIe siècle. Quartier attesté en 1413 Crosus Dortigoulas (terrier de l’évêché de Die) crosus = traverser – ortigoulas = grande ortie.
Aubes (quartier) : Albas au XIIIe s. ; Haubes au XVIIIe siècle ; au nord-est du village. Cette appellation semble rappeler la couleur blanche (alba) mais aussi l‘endroit où apparaît le soleil levant. On peut penser aussi à l’occitan « auba » appellation du saule à feuillage blanc.
Augusta (Via) : voie de contournement nord du village « voie urbaine nord », créée dans les années 1979, ainsi appelée en hommage au « fondateur » du bourg, l’empereur romain Auguste.
Auguste Chenu (Rue) : située rive gauche de la Drôme, ancien tracé de la D 164 route de Aouste à Piégros la Clastre/Saillans. Ainsi dénommée en hommage à l’industriel cimentier Auguste Chenu (1869-1955).
Balcons de la Sye (Lotissement les ) : situé au nord de la commune, desservi par la route de Cobonne (RD 731).
Beaune : colline et ruisseau au sud de la commune, entre Peymée à l’ouest, Jurie au sud, les Hubacs au nord et à l’est Pimpignoux. Semble dérivé du mot gaulois latinisé « Belena », nom d’une source issu du patronage du dieu gaulois Belenos, divinité des eaux. Actuellement décrit sous le nom de « Beaume » ce qui aurait un rapport avec un creux, une grotte.
Berton de Saut (Rue) : au centre du village, rive droite, rappelle le souvenir d’une personne. A ne pas confondre avec le comte de Sault, Charles 1er de Blanchefort de Créquy (1571-1638), lieutenant général du Roi en Dauphiné, gendre du duc de Lesdiguières, prit la décision le 9 janvier 1626 par arrêt de faire démolir les remparts de la cité. https://histoire-patrimoine-aoustois.fr/?p=5498
Beausoleil (Lotissement) : lotissement au nord du village bordant la via Augusta, aménagé en 1982
Blacons (Route de) : à l’est du village, portion de la RD 93 direction Saillans – Die. Aussi dénommée Route des Trois Becs.
Blés d’or (lotissement les ) : situé au rond point ouest de la commune.
Bleue (La) (Quartier ) : quartier situé au nord de la commune, limité au sud par le Corneret, au nord par Les Aubes , à l’ouest Siméziane et à l’est par la commune de Mirabel et Blacons. Rappelle un patronyme ?
Bois Vieux (chemin de) : sur la rive gauche de la Drôme, au sud de la commune. Débute route du Pas de Lauzens (D70) jusqu’à la commune de Divajeu. Dessert le bois communal. L’ancien appellation était la route de La Répara.
Bories (Chemin des) et (Route des) : sur la rive gauche de la Drôme, au sud-ouest du village, en limite de ZA de la Condamine et du ruisseau des Limites (avec la commune de Piégros La Clastre). Cette appellation semble autrefois indiquer la présence de ferme, métairie, domaine ou cabanon. Il en reste quelques uns. A noter que sur le cadastre de 1811, section A, les Petites Bories de Piégros la Clastre sont mentionnés une maison Laborie et un serre Laborie.
Boulard : Probablement, rappelle un patronyme, mais aussi une grosse bille de bois. Il est annoté que dans le département de la Drôme ce patronyme arrive au 6e rang.
Calvaire (Rue du) : au nord du village, entre la rue Antoine Tavan et la rue du Haut Arras. Son appellation vient la présence de trois croix bâties sur un socle en pierre.
Cèdres (Impasse des) : impasse située rive gauche de la Drôme, desservant les habitations du bord de Drôme. Débute côté gauche de l’avenue de la gare, après le monument aux morts. Ainsi nommée en références aux grands cèdres plantés sur le talus du monument aux morts. Jusqu’à la fin des années 1960, au pied de cette butte était installé un alambic.
Chabanas (Quartier) : situé rive droite de la Drôme, au nord est du village. Rappelle le mot « cabanas » signifiant grande cabane délabrée où l’on abrite les troupeaux. Le mot « chabanas » est courant dans le sud de la France dénommant les cabanes de pierres sèches bâties autrefois par les paysans eux-mêmes pour servir d’abri. Créé en 1976.
Chanteloube (Quartier) : Chantaloba XIIIe s. ; situé rive droite de la Drôme, au sud du village, au pied de Rochecolombe. Ce mot peut rappeler, si l’on s’en réfère à l’occitan : « lieu où chante la louve –cantar et loba ». Bien que cela semble d’actualité, il fort probable qu’il fasse référence au bruit que faisaient les bûcherons qui sciaient les arbres . En effet le mot loube, louba » désigne une grande scie pour couper les troncs d’arbre.
Charles Chapoutat (Rue) : à l’ouest du village, débute rue de la Croix jusqu’au rond point ouest. En hommage au chef de la Résistance. https://histoire-patrimoine-aoustois.fr/?p=5478
Charancon (Rue de) : Chalancon au XVIIIe siècle ; à l’ouest du village, sur la rive droite de la Drôme, débute rue Chapoutat jusqu’au bord de la rivière. L’appellation de cette rue n’a aucun lien avec l’insecte mais plutôt dérivé du mot occitan « caranco, charancho » signifiant ruelle étroite et rapide, pente raide.
Charpentier (Rue du) : au centre du village reliant la rue de Surville et la Grande Rue. Rappelle la présence d’un charpentier.
Citadelle (Passage de la) : au centre ville, rive droite, relie la rue des enfers à la place Gabriel Bonnard. Son nom signale la présence de l’ancienne citadelle monnayeuse dont les derniers vestiges ont été démolis en 1976.
Cobonne (Route de) : au nord du village, c’est la RD 731 qui permet d’atteindre le massif du Vercors. A l’origine il s’agissait de la route reliant Saint Jean en Royans à Nyons.
Collet (allée du) : situé au nord de le commune, dessert des habitations du lotissement du Signal.
Combe Plane (Quartier) : situé au sud du village, rive gauche. Sa dénomination peut désigner une petite vallée, pli de terrain, lieu bas entouré de collines, ce qui correspond assez bien au site, petite dépression entre deux collines. Anciennement nommé Cumba Plana , 1413 (Terrier Ev. de Die) – Serrer Sive Comba Plana, 1608 (Terrier de Quintel)
Condamine (Route de la) : au sud du village, rive droite. Relie l’avenue de la gare (RD 70) au chemin des bories. Ce terme issu de l’occitan est employé pour qualifier les terres seigneuriales aux alentours du XIIe siècle et dont la signification littérale est » prairie appartenant au seigneur » . Terre exempte de redevance féodale. Cette appellation est aussi donnée à la terre arable dans certaine régions du sud de la France. Actuellement ce quartier est occupé par une zone industrielle.
Cordonnier (Rue du) : au centre du village, relie la Grande Rue à la rue de Surville. Doit son nom à un cordonnier qui possédait une boutique au coin de la Grande Rue.
Cornerets (Quartier) : au nord est du village, toponyme qui se rapporte au nom de la colline Corneret – Corneyret , 1605 (délibérations consulaires). Rappelle un sommet pointu et sombre.
Crêtes ( chemin des ) : au sud du village, chemin en cul de sac longeant la Crête de Saint Alban, débutant au chemin des Hubacs.
Crest (Route de) : à l’ouest du village, portion de la RD 93 en direction de Crest, aussi appelée Avenue des Trois Becs. Débute au rond point ouest jusqu’au pont de la Lauzière.
Croix (Rue de la) : située à l’ouest du village, entre la rue de l’Allée et la rue Chapoutat. Son nom rappelle la présence d’une croix sur socle ; cette croix a été déplacée et se trouve maintenant sur la place devant le cimetière. La fontaine située devant la croix a été supprimée lors de la mise en place du réseau d’eau potable.
Croisière (Rue de la) : au centre du village, rive droite, relie la rue des Moulins et la Grande Rue. Indique une notion de croisement. Avant la démolition du café Davin situé devant l’église, cette rue se prolongeait vers le nord et recoupait la Grande Rue. Elle était la liaison nord-sud entre la rive droite et gauche de la Drôme en prolongement de l’ancien pont roman.
Devèze (Devès) : à l’ouest du village, l’ancienne appellation était le chemin du cimetière. Terme occitan faisant allusion à un bois interdit en défens, réserve, jachère, friche, bois ou pâturage soumis à réglementation. Les devès étaient des réserves dans lesquelles on ne peut faire paître même après l’enlèvement des récoltes.
Droits de l’Homme (Rue des) : au centre du village. Débute à la Grande Rue jusqu’au rond point nord de la via Augusta. Ainsi nommée en hommage à cette notion.
Eau Vive (Lotissement l’) : situé au nord de la commune, créé en 2013, desservi par la route des Cornerets.
Édouard Athénor (Rue) : sur la rive gauche, au centre du village. Débute au Pont de Drôme et finit Place des Anges. Baptisée de ce nom en hommage à un maire en place de 1864 à 1896.
Egalité : ancienne partie du chemin du cimetière, au nord-ouest du village, débute Via Augusta, dessert le cimetière d’Aouste.
Eglise (Place de l’) : située au centre du village, rive droite au croisement de la Grande Rue et La Rue des Droits de l’homme. Ainsi nommée en raison de la présence de l’église Notre Dame de l’Assomption remplaçant en 1878 l’ancienne devenue trop vétuste. Cette place a subi diverses modifications, démolitions de bâtiments tel le café Davin en 1966, aménagement piétonnier et en 2022, rénovation et embellissement.
Enfers (Rue des) : une des plus anciennes rues d’Aouste. Située rive droite au centre du village. Cette rue rappelle, avec la rue de la Synagogue, la présence du quartier juif. Ainsi nommée en référence à leur présence mais possibilité en souvenir du pillage et de l’incendie de la ville en 1628 durant les guerres de religion.
Enjaury, Anjaury : Enjorie, Enjory au XVIIIe siècle. Quartier situé rive gauche au sud de la commune entre Combeplanne au sud, l’Eco Parc du Pas de Lauzun au nord, à l’est par la commune de Piégros La Clastre et à l’ouest par le Lauzens. Ne semble avoir que peu de rapport avec le mot occitan « enjaurar, enjaurir » signifiant épouvanter, apeurer mais aussi une notion de farouche. Plutôt le patronyme « Jaury » (chez Jaury) .
Facteur (Rue du) : au centre ville, rive droite ; relie la Grande Rue et la rue de Surville. Son nom rappelle le facteur qui y résidait.
Ferrande (Quartier) : Ferrandes au XVIIIe siècle. Situé au sud de la commune, dominé par de Serre de Ferrande. Limité au nord par Sauvanne, au sud par Combeplanne, à l’est par la commune de Piégros La Clastre et à l’ouest par Pimpignoux. Doit son nom à la colline homonyme.
Fifre (Rue du) : au centre ville, rive droite ; relie la Grande Rue et la rue de Surville. Son nom rappelle un joueur de fifre de la clique municipale, qui y résidait.
Fleury (lotissement le) : situé au rond point ouest de la commune.
Fontagnal (Chemin de) (Quartier) : Fontgnieu, Fontagnau au XVIIIe siècle. Situé à l’est de la commune, rive droite. Doit son nom à une source, fontaine. Attesté « Font Anhant, 1413 (terrier de l’E. de Die). — Lou mas de Lanya sive Fonteynial, 1429 (ibid.). — Fontagnan, Font-Aignan, 1605 (parcel.) ». Possibilité dérivé d’un patronyme (Lanya).
François Bernard Charmois (Place) : au centre du village, rive droite. Cette place rend hommage à François Bernard Charmoy (1793-1868) orientaliste français qui a professé en Russie pendant plusieurs années de 1817 à 1835. Il considère les sources orientales essentielles pour le Russie et contribue à dépassionner l’histoire des relations russo-orientales. https://aouste-a-coeur.com/francois-bernard-charmoy/
Frênes (Allée des et lotissement) : situé au nord-est du village, dessert le lotissement des Frênes.
Gabriel Bonnard (Place) : au centre bourg, en hommage au maire élu de 1953 à 1983. Sur cette place était édifiée le donjon de la citadelle.
Garde-champêtre (imp. du) : située rive droite de la Drôme, débute coté gauche de l’avenue de la Gare. Ainsi nommée en souvenir d’un garde-champêtre ayant habité au fond de l’impasse.
Gardettes (les) : quartier situé au sud ouest de la commune, limité à l’ouest par la commune de Crest, au nord par les Plantas/Millassoles, à l’est par les Terrasses et au sud par Vincent. Son appellation peut venir d’un pâturage réservé ou d’une borne destinée à garder une limite. Mentionnée au XIIIe siècle « el serre de la Gardeta » (le fieus de lévesque)
Gare (Rue de la) : sur la rive gauche de la Drôme, (RD 70) débute au pont jusqu’au rond point de la déviation sud, ancienne route de Saint Jean en Royans à Nyons. Dessert les quartiers sud de la commune et l’ancienne gare SNCF définitivement fermée en 1973.
Gaye (Quartier de la) : quartier au nord de la commune partagé entre les communes de Aouste et Cobonne. Désigne un passage à gué (gaila).
Grande Rue : La grand-rue était autrefois l’avenue principale qui traversait le village. Cette rue correspondait au décumanus romain, le cardo étant la rue de la Croisière. Il est a noté qu’en France on dénombre 3943 Grande-Rues.
Grès (les) (quartier) : non situé ?
Gustave Gresse (Rue) : à l’ouest du bourg, rive droite , dénommée pour rappeler le maire élu de 1896 à 1908. Relie la rue de Charençon à la rue Charles Chapoutat ; dessert la MJC Nini Chaize.
Hameau de Mi-voie (lotissement) : situé à l’ouest du bourg, desservi par la route de Crest.
Hôpital, Opital (Rue de l’) : au centre du bourg, relie la Grande Rue à la rue Edouard Athenor. Doit son nom à la présence d’un ancien hôpital déjà attesté en 1350, agrandi par Louis XIII en 1622 et Richelieu en 1629.
Hubacs (Les) : quartier situé rive droite, limité au nord par Milassolles , au sud par la route d’Aouste à la Répara, à l’est par Saint Alban (D411) et à l’ouest par la commune de Divajeu. Doit son nom à son exposition au nord ou partie d’une vallée exposée le plus longtemps à l’ombre.
Huilerie (lotissement de) : à l’ouest du village, rive droite. Débute rue Charles Chapoutat. Rappelle l’ huilerie Richard détruite par un incendie en 2006.
Ile (Chemin de l’) : à l’ouest du bourg, au quartier St Pierre, longe la rivière Sye ; débute au pont de Sye , rue du Pasteur Boegner jusqu’au chemin de St Pierre. Pourrait désigner un endroit couvert d’alluvions au confluent de la Drôme et de la Sye.
Iris (chemin des) : au nord de la commune, en cul de sac, débute rue Serpentine et dessert des habitations du lotissement St François. Rappelle une plante aromatique dans le lotissement dédié aux fleurs.
Jardins d’Augusta ( lotissement) ; situé au nord de la commune, créé en 2013, desservi par la Route de Cobonne (RD 731)
Jardins (Rue des) : se situe à l’ouest de la commune , dans le quartier St Pierre ; débute rue St Pierre et finit à la D 93. Ainsi nommé car autrefois ce quartier était essentiellement cultivé en jardins potagers.
Jurie : Jurye (1605) : anciennement nom d’un hameau ; quartier au sud de la commune, limité au sud par Roche Colombe, les communes de Saou et Soyans, au nord par Peymée et Les Hubacs, à l’ouest par Soyans et à l’est par Chanteloube et Pimpignoux. Possibilité de désignation de personne , toutefois on le retrouve avec la signification de « religion juive, juifs, peuple juif, terre juive, quartier juif ».
Lassaumes (Quartier) : au sud de la commune, limité au nord par Picouty, au sud par le serre de Pimpignoux, l’est par le ruisseau de Lauzens (RD 70)et à l’ouest par la RD 411 (route de La Répara). Indique un patronyme ou en rapport avec un élevage d’ ânesse.
Lavoir (Rue du) : au centre du bourg, rive droite ; cette rue relie la rue Berton de Saut et la la rue Edouard Athenor. Cette rue donne accès au lavoir dit « Petit Bassin » construit en 1891.
Lilas (lotissement les) : situé au nord de la commune et au nord du lotissement Beausoleil. Créé en 1987 (?).
Lozière (La) : Creyssalon au XVIIIe siècle.Quartier à l’ouest de la commune, limité par le ruisseau de la Lauzière, à l’est par les Arras, au sud par les Bas Arras et au nord par Sylvestre. Doit son nom au ruisseau la Lauzière qui, formé de la réunion du Chanterenard et du Craisseron, sépare les communes d’Aouste et de Crest, et se jette dans la Drôme. — Le rif de la Leauzière ou Saint-Vincent, 1651 (parcell. de Crest). — On lui donnait autrefois le nom de Creisseron — El riou de Creyssalo, juxta lo cementieri de Creyssalo, XIIIe siècle (Le fieus de levesq.). — Le rif de Cressalon sive de Saint-Vincent, 1611 (parcell. de Crest).
Maillette, Maillete: quartier situé au sud de la commune, limité au nord par RD 164 , au sud par Les Terrasses/ le Grand Lauzens, à l’est par le Lauzens et à l’ouest par les Rapaillens. Doit son nom au patronyme d’une personne fabriquant des clous à chaussure ou peut avoir indiqué un endroit où a été trouvé des « menues monnaies, toutes petites pièces, petites médailles vendues aux pèlerins ».
Matelassier (Rue du) : situé au centre bourg, rive droite, relie la Grand Rue à la rue des Moirans. Elle rappelle le souvenir d’un matelassier qui avait son atelier dans cette rue.
Melchior des Essarts (Rue) ; au centre bourg, rive droite, relie les rues Berton de Saut et des Boulards. Nommée ainsi en hommage au poète aoustois https://histoire-patrimoine-aoustois.fr/?p=5440 d’une grande famille https://aouste-a-coeur.com/la-famille-fabre-des-essarts-et-la-ville-daouste-sur-sye/
Millassoles, Millasolle, Millesolle (Quartier) : au sud, sur la rive gauche, limité au nord par Peyrequatre, au sud par les Gardettes, à l’est par les Rapaillens et à l’ouest par les Plantas. Déjà mentionné en 1413 Mollassola (terrier de l’évêque de Die) – Meillesolle en 1513 (archevêché de la Drôme E2224) – Milhesolles en 1605 (parcellaire) – Meillassolla en 1620 (terrier de Quintel). Indique le champ du milieu et humide mais aussi terre à millet, à maïs.
Mivoie (Quartier) : rive droite, à l’ouest de la commune, limité au nord par les Bas Arras, au sud par la Drôme, à l’est par le rond point ouest de Aouste et à l’ouest par le rond point d’Inter Marché. Ainsi nommé car il se situe à mi-chemin entre les villes d’Aouste et Crest. Mentionné en 1685 Méevie, Meyevie (arch. not. Sibeud)
Modiste (Impasse de la) : au centre bourg, rive droite, débute rue de Surville. Ainsi dénommée en souvenir d’une modiste exerçant son métier au fond de l’impasse.
Moirans (Rue des) : au centre du bourg, rive droite, débute rue des Droits de l’homme et aboutit au Pont de Sye. Cette rue abritait des fabricants de moire (moara)qui servait à la fabrication et pour le séchage du papier.
Montvert (chemin de) ; à l’ouest de la commune, rive droite, débute à la RD 93, à Mi-Voie. Doit son nom à une petite colline recouverte d’un bois.
Moulins (Rue des) ; au centre bourg, rive droite. Débute à la Grande Rue et aboutit au Pont de Drôme et la place Rochefort. Rappelle la présence d’anciens moulins déjà mentionnés au XIVe siècle et qui, en outre ont fourni l’éclairage à Aouste dès 1894.
Mourier (Quartier ) : non situé. Dans le cas d’ un toponyme, c’est un lieu où poussent le mûrier ou les où les mûres sont abondantes.
Narcisses (Allée des) ; située dans le lotissement Saint François, au nord de la commune. Débute route des Arras et aboutit rue Traversière. Rappelant une plante aromatique dans le lotissement dédié aux fleurs.
Papeterie (allée de la) : au nord du village, rive droite, débute route d Cobonne (RD 731). Rappelle la présence d’une ancienne papeterie, la Pialle.
Pas de Lauzens (Route du) : il s’agit de la RD 70 débute au rond point sud de la commune jusqu’à la forêt de Saoû. Doit son nom à l’ étroit défilé, en bordure de la magnifique route départementale 70, une importante chute du ruisseau de Lauzens lui permet de franchir une barre rocheuse. Ancienne route de Saint Jean en Royans à Nyons au XIXe et Route de l’Etain dans l’Antiquité.
Pasteur Boegner (Rue) : (RD 494), à l’ouest du village. Débute au Pont de Sye jusqu’au rond point ouest. Ainsi nommé en hommage à Marc Boegner, pasteur au charisme exceptionnel, Marc Boegner est une des grandes figures du protestantisme français contemporain. Fédérateur de ses diverses sensibilités, il y assume très tôt des charges importantes. https://histoire-patrimoine-aoustois.fr/?p=5488
Peymée (quartier) : au sud de la commune, situé entre au nord la commune de Divajeu, à l’ouest et sud la commune de Soyans, à l’est Beaune/Jurie. Appelé Podium Pernas en 1413 (terrier de l’évêque de Die). Toponyme en rapport avec une colline (colline de Pernas ?)
Peyrequatre (Quartier) : au sud de la commune, rive gauche, limité au nord par la Drôme, au sud par Millassoles, à l’est par les Rapaillens et l’ouest par les Plantas. Cette dénomination semble rappeler l’emplacement d’un pilier carré ou d’une borne. On peut signaler que ce lieu était un site néolithique.
Peyrolle (La) : quartier au nord de la commune, limité au sud par Chabanas, au nord par Simesiane sud , à l’est les Cornerets et à l’ouest la Sye. Peut-être rappelle le nom d’une personne. Mais plus vraisemblablement signifier avec « peyrol = lieu pierreux » ou « pairola – chaudière ».
Pialle (Quartier) : situé au nord de la commune, limité au sud par Fontagnal, au nord par Chabanas, à l’est par le Puy Saint Pierre et à l’ouest par la rivière de Sye. Le mot semble provenir de « piala » signifiant : pile, bassin. Ce qui est probable dans la mesure où un foulon existait déjà au bord de la Sye avant le XIVe siècle.
Picouty : situé au sud de la commune, rive droite, limité au nord par Millassoles/St Vincent, au sud par les Hubacs, à l’est par Saint Alban et à l’ouest par commune de Crest. Toponyme se rapportant à une terre qui doit être travaillée à la pioche ou un terrain à bêcher.
Plan d’Aouste : quartier situé au nord du village ainsi nommé signifiant plateau en contrebas de collines. Limité au nord par la route des Arras, au sud par Mi-voie, à l’est par Saint François et à l’Ouest par les Bas-Arras.
Plantas (Les): quartier situé rive droite, au sud ouest de la commune, limité au nord par la Drôme, à l’est par Peyrequatre, à l’ouest par la commune de Crest et au sud par Millassoles. Doit son nom à des plantations (arbres ou vignes). Mentionnés : Las Plantas au XIIIe s. (le fieus de lévesque) – Les Plantées (1548) – Les Plantas en 1651.
Poste (Place de la) : au centre bourg, rive droite, débute à la Grande rue jusqu’au pont de Drôme. Ainsi nommée en mémoire de la Poste. Sur cette place a existé sous l’Ancien Régime un temple protestant jusqu’en 1682 puis l’ancienne église Notre Dame détruite en 1862.
Pourret (Quartier, chemin du) : rive gauche ; au sud de la commune, limité au nord par la Drôme, au sud par la déviation sud, à l’est par la rue de la Gare et à l’ouest par le ruisseau de Lauzens. Ainsi appelé car c’était autrefois l’endroit où l’on déposait les détritus, peut aussi indiquer la demeure d’un marchand de légumes.
Pont Bossu (Quartier) : à l’ouest, en limite des communes d’Aouste et Crest. Il s’agit du pont sur la Lauzière, ainsi dénommé, en tenant compte de l’ancien français, signifie « dont la silhouette n’est pas en ligne droite; qui présente des éminences ». Il est vrai que sous l’Ancien Régime ce pont a souvent été sujet à des dégradations.
Pradet (chemin du) au sud de la commune, en impasse, débute route du Pas de Lauzens (D70). Signifie « petit pré ».
Puy Saint Pierre (Quartier) : au nord-est de la commune, limité au nord par Chabanas, au sud par Fontagnal, à l’est par Les Rouveyras et à l’ouest par la Pialle. Signifie la colline de Saint Pierre.
Rapaillens, Rapaillans, Rapaillen(Les) : quartier au sud de la commune, rive gauche , limité au nord par la RD 164 , au sud par Millassoles/Gardettes, à l’est par Maillette et à l’ouest par Peyrequatre. Mentionné : Raspalhenc en 1413 (terre de l’év. de Die). — Rapalhens, 1605 (parcellaire). Indique une notion d’épis restant après les gerbes et que l’on râtelle après l’enlèvement des gerbes ou reste de fourrage, de chanvre.
Remparts (Rue des) ; à l’ouest du centre-bourg, débute à la Grande Rue jusqu’à la Drôme.Ainsi appelée car elle longe les anciens remparts ouest de la ville.
Rives du Lauzens (lotissement) situé au sud de la commune, créé en 2011, sur la rive droite du ruisseau de Lauzens, desservi par la route du Pas de Lauzens.
Rochecolombe (Impasse) : au nord du bourg, dans le lotissement Saint François. Nommée en honneur de la montagne Roche Colombe qui lui fait face au sud.
Rochefort (Place) : à l’ouest du centre bourg, rive gauche, place en impasse débutant rue des Moulins. Désignant un endroit fortifié bâti sur une éminence rocheuse ; existait autrefois à cet endroit une des quatre tours des remparts.
Rouveyres (les): quartier situé au nord-ouest de la commune, limité au nord par les Cornerets, au sud Fontagnal, à l’est commune de Mirabel et Blacons et à l’ouest Chabanas. Mentionné en 1413 Roveria (terrier de l’évêché de Die). Doit son nom à un bois de chênes-rouvres.
Rue du 19-Mars-1962 : en référence au cessez-le-feu du 19 mars 1962, qui marque la fin de la guerre d’Algérie.
Saint Alban (quartier et route) : situé au sud de la commune, rive gauche, limité au nord par les Terrasses, à l’est par le ruisseau de Lauzens, au sud par Picouty et à l’ouest par les Hubacs. Nommé ainsi par la présence d’une chapelle dédiée à Saint Alban. Appelé Saint Aulban en 1605 (parcellaire).
Saint Christophe, Christophle (Quartier) : à l’ouest du centre bourg, limité au nord par la déviation nord, à l’est par la rue de la Croix et des Remparts, au sud par la Drôme et à l’ouest par le rond point ouest. Doit son nom à la présence, jusqu’au XVIIIe s. de l’église paroissiale St Christophe et du cimetière. C’était aussi le nom de la porte ouest des remparts. Nommé: Sent Christouffe en 1694 (délib. Consul.) – Sainct Christo en 1505 (parcellaire) – Sainct Cristofle en 1608 (terrier Quintel).
Saint François (Quartier et lotissement) : au nord de la commune, rive droite, limité au nord et est par la route des Arras., au sud par la déviation nord, et à l’ouest par le Plan d’Aouste. Le lotissement a été créé en 1976.
Saint Pierre (Chemin de) (Quartier) : à l’est de la commune, rive droite. Limité au nord par la route de Blacons (RD 93), au sud par la Drôme, à l’ouest par la rivière Sye et à l’est par la Drôme et la commune de Mirabel et Blacons. Nommé au XIV e s. : Prioratus de Augusta, (Pouillé de Die). — Prioratus Sanctorum Petri et Xpistofori de Augusta; ecelesia Beati Petri de Augusta prope et extra locum Auguste, 1509 (vis. épisc.). — Le prioré de Sainct Pierre d’Oste, 1550 (terr. de Quintel). — En Sent Pierre, 1607 (terr. de Quintel). Rappelle l’emplacement d’un prieuré de l’ordre de St Benoît, filiale de St Géraud d’Aurillac.
Saint Vincent (Quartier) (Chemin de) : à l’ouest de la commune, rive droite. Limité au nord par les Bas-Arras., au sud par la RD 93, à l’est par Mi-voie et à l’ ouest par le ruisseau de la Lozière. Appelé : Ecclesia de Crescelon, 1196 (Cart. de Die, 59). – Sainct Vincent de Crescelon, 1529 (arch. hosp. de Crest). – Ad Sanctum Vincentium sive Creyssalo, 1413 ( terrier de l’év. de Die). Ainsi nommé pour rappeler l’emplacement d’une église, qui était voisine de la maladrerie de même nom et qui, dépendant tout à la fois de l’abbaye de Saint-Ruf et de l’évêché de Die, fut paroissiale jusqu’au XVe siècle.
Sauvanes (Quartier) : situé au sud de la commune, rive droite; limité au nord par Ferrande, au sud et est par la commune de Piégros La Clastre, à l’ouest par Pimpignoux et Chanteloube. Appelé Salvana, 1540 (Inv. de la chambre des comptes). — La grange de Souvane, 1597 (ibid.). – Saumane, 1634 (arch. de la Drôme, E 4033). Semble désigner un lieu inculte ou un patronyme.
Senteurs (Chemin des) : au sud de la commune, dans la zone artisanale de la Condamine, débute chemin des Bories, dessert les entreprises de la zone artisanale.
Serpentine : au nord de la commune ; rue desservant le lotissement Saint François, débute route des Arras. Rappelant une plante aromatique dans ce lotissement dédié aux fleurs.
Signal (Lotissement l’Allée du) : situé au nord du village, entre la rue du calvaire et la route de Souvion.
Simesiane, Semiziane, Simiziane (Quartier) : au nord-est de la commune, limité au nord et à l’ouest par la commune de Cobonne, au sud par les Cornerets, et à l’est par les Aubes et commune de Suze. Divisé entre Simesiane nord et Simesiane sud. Appelé Semizana en 1413 (terrier de l’év. De Die) – Semyzana en 1489 (terrier de l’év. De Die). Peut indiquer des champs ensemencés ou dérivé d’un patronyme.
Souvion (Quartier) : au nord de la commune, limité au nord par les Chiprons/la commune de Cobonne, au sud par les Arras/Plan d’Aouste, à l’est par la route de Cobonne et à l’ouest par les Arras. Rappelle un patronyme.
Surville, Soubreville : Rue au centre du village ainsi dénommée car cette rue est située sous le rempart nord tel que l’on nommée ces rues sous l’Ancien Régime. Dans les archives Municipales des 16e au 19e on la trouve sous l’appellation « soubreville ».
Sye (quartier) : aux environs du Pont de Sye. Nommé en 1413 Porta de Sya (terrier de l’év. De Die). Doit son nom à la proximité de la rivière Sye, appelée Sîa, 1240 (Chartes valent.) – Aqua de sya, 1383 (arch. de la. Drôme, E 509) – Ripparia de Sirs alias de Sio, 1508 (terr. de Quintel) –Le rif de Sie, 1594 ( délib. consul. d’Aouste) – Scie, 1757 (id.).
Sylvestre (quartier) : situé au nord de la commune, limité au nord par les communes de Crest et Cobonne, au sud par la Lozière, à l’ouest par la commune de Crest et à l’est par Souvion. Évoque un patronyme.
Synagogue (Rue de la) : au centre bourg, rive droite. Débute place des Anges jusqu’à la place des Trois Balcons. Doit son nom la présence du quartier juif au XIV et XVe s. https://histoire-patrimoine-aoustois.fr/?p=5437
Terrasses (les) : quartier au sud, rive gauche, limité au sud par Saint Alban, au nord par Maillette, à l’est par le Lauzens et à l’ouest par les Gardettes/St Vincent. Doit son nom au paliers aménagés sur un versant avec des murets de pierres sèches pour en permettre la culture.
Terrasses (lotissement les) : situé au sud de la commune, desservi par le chemin de Saint Alban.
Tisserand (Rue du) : au centre bourg, rive droite. Relie la Grande Rue à la rue de Surville. Doit son nom à la présence, autrefois à l’atelier de tissage de Mr Faure.
Tournepierre (Quartier) : situé sur la Crête de Saint Alban, à l’ouest et au sud des Hubacs, à l’est Saint Alban et au nord les Terrasses, desservi par le chemin des Crêtes.
Traversière (Rue la) : situé au nord de le commune, dessert des habitations du lotissement Saint François. Relie la rue Serpentine et l’allée des narcisses.
Trois balcons : la plus petite place d’Aouste située dans le quartier des « Enfers » ainsi dénommée en référence aux balcons bordant la place. Cette place est la plus ancienne d’Aouste sur Sye ayant révélé en sous-sol des traces de murs gallo-romains.
Trois Becs (Rue des) : situé au nord de le commune, dessert des habitations du lotissement Saint François. Rappelle le site des Trois Becs.
Tulipes (Allée des) : situé au nord de le commune, dessert des habitations du lotissement Saint François. Débute rue Serpentine.
Veyou (Rue du) :situé au nord de le commune, dessert des habitations du lotissement Le Signal. Rappellerait le point culminant du massif des Trois Becs.
Voconces (rue des) : au nord du centre-bourg, relie la rue de L’Allée à la rue des Droits de l’homme. Ainsi nommée en souvenir de la fédération de peuples gaulois installés dans le village avant les Romains.
Rues, Quartiers et Lieux-dits mentionnés dans les parcellaires du XVII°et XVIII° siècles
NB : Certains quartiers et lieux-dits mentionnés (en italiques ) dans cette liste font actuellement partie de la commune de Mirabel et Blacons suite au transfert de 1946
Artigoules, Entigoules | Aureille, Aureillette |
Auveillot | Aux Aubes, Haubes |
Aux Bayardons | Aux Jullians |
Barastons | Bas Chabanas |
Beaune | Borie |
Breynouses | Campanes |
Cantouye | Chabanas |
Chalancon | Chamalots, Chamarot |
Champ Vachier | Chavaret |
Claux | Coin, Coing |
Col d’Aouste | Collet |
Collet des Auberts | Collet des Aubes |
Collet ou La Cheuve | Combe de St Alban |
Combe Garenc, Combe Garenne | Combe Girard |
Combeplane | Condamine de St Pierre |
Coste Final, Coste Finaud | Coulet, Coullet |
Coullière de Combeplane | Courneyret |
Creyssalon | Cros |
Dinechin, Dinechy | Douvette |
En Clapisse ou au Cabert | En cour de Verane |
En la Rouyet | En l’Enclauze |
En Lenteaume, Lentelme | En Scie proche la tour de Millan |
En Siallard | En Vallon |
Enjorie, Enjory | Enteriou, Enteviou |
Ferandes | Fonclauze |
Font Chatet | Font de Grangier |
Fontagnau, Fontagnieu | Gensonnenche, Genssonnenche, Geyssonnenche |
Gervane | Grand Lauzenc, Grand Lauzens |
Grande Rue | Grangier ou Lizoarde |
Jaterie, Juterie (Juiverie) | La Chabre |
La Clause | La Condamine |
La Cour | La Croix |
la Croste, La Crote, La Crotte | La Font de la ville |
La Font des graviers de la Tour | La Gardette |
La Gaye | La Lauziere |
La Planche | La Rabonnenc |
La Rabonnère | La Rouyet |
La Sarpe, La Serpe | La Scie |
La Tour | Larra |
Las Champs | Las Combes |
Lauzenc, Lauzens | Lavignac, Lavignas, Lavignat |
Les Blaches | Les Broas |
Les Terrasses | Les Ubacs, Ubats |
Leychalete | Maillete, Maillette |
Meanie, Myanie | Millasolle, Millesolle |
Nais, Naix | Ogier |
Petit Bony (Bary) | Petit Bouc |
Petite Rouvière | Pey Arnaud |
Peybonnet | Peychier |
Peymée | Peymoutet |
Peypinoux | Peyraquatre, Peyrequatre |
Peyrenier, Pereynier | Peyrolland |
Peyrolle | Place de la Cour |
Place du château | Place du Pont |
Place et rue du Pont de Drôme | Plan des Ubacs, des Ubats |
Plantas | Porte de St Christophe |
Pouret | Puy Saint Pierre |
Rapaillenc, Rapaillens | Rif de La Chanal, de la Chanau, la Chanaud |
Ririet | Rochefort |
Rue allant au pont de La Drôme | Rue allant de la croisière au pont de Drôme |
Rue allant du pont de Drôme au pont de Scie | Rue allant en Surville |
Rue Berthon de Saut, Berton de Saut | Rue de « l’Opital » au pont |
Rue de l’Opital | Rue de Rejoly, Roujoly, Roujouly |
Rue de Rochefort | Rue de Surville |
Rue des Boulards | Rue des Campanes |
Rue des Moirans | Rue des Ristres, Ruistres, Rustres |
Rue du Château | Rue du château à l’hôpital |
Rue du Four | Rue du Moulin |
Rue du Pont | rue Interier |
Saint Alban | Ruine du Barry |
Saint François | Saint Christophle, Christophe |
Saumane | Saint Pierre |
Serre de Juriers | Semiziane, Simiziane |
Siallard | Serre de Pommier |
Soubreville, Surville | Somelonge |
Sonnalier | Sous Saint Pierre |
Terrasses | Tournepierre |
Viol Berthon de Saut | Viol de la Cour |
Viol des Campanes | Viol de Mirabel |
Viol du Pont | Viol de la Rabonne |
Viol des Ristres, Rustres | Viol de Rochefort |
Viol de Rojoly (Rozoly) | Viol de St Jean |
Viol de Surville | Vivier |
Aureille, Aureillette : peut avoir désigné une bordure, l’orée d’un bois
Auveillot : nom de famille sans doute dérivé du latin villa (= domaine) ou de « vieil » (= vieux)
Barastons : semble indiquer une notion de tromperie ou rapport avec une famille. Peut donner à penser à « banaston »: petite hotte
Bayardons : nom de famille rappellante un baquet servant au lavage
Breynouses : semble avoir un rapport avec un lieu souillé d’ordures
Cabert : référence à un patronyme
Campanes : rappelle les cloches mais aussi les champs
Cantouye : il devrait plutôt s’agir d’un toponyme (= coin, angle).
Chamalots, Chamarot : rappelle une étoffe de poil ou de laine
Champ Vachier ; champ se rapportant à un patronyme ou servant à garder des vaches
Château (place du) : indiquait l’emplacement de l’ancienne citadelle
Chanal (rif de la), de la Chanau, la Chanaud : ruisseau rappelant un canal, un chenal
Chavaret : il s’agit d’un lieu creusé ou fouillé mais désigne aussi un lieu creusé de terriers de lapin
Clapisse : rappelle un lieu couvert de pierrailles, décombres, petit coin de terre pierreuse
Claux : définit un terrain cultivé entouré de haies, murs ou clôtures. Anciennement Le Clot, 1607 (parcellaire) – Ad Closum ,1413 (terrier de l’év. De Die)
Coin, Coing: désigne un sommet, une pointe mais aussi le fruit
Collet, Coulet, Coullet : désigne une petite colline
Combe : pli de terrain entouré de collines
Combe Garenc, Combe Garenne : endroit peuplé de lapins
Combe Girard : la combe appartenant à la famille Girard
Combe de Saint Alban : la combe de l’ancien ermitage de Saint Alban
Condamine Saint Pierre : terre seigneuriale libre de toute redevance au quartier St Pierre
Coste Final, Coste Finaud : la dernière côte
Couillère de Combeplane : indique un conduit de fontaine par lequel s’écoule l’eau ou source à Combeplane
Courneyret : rappelle un coin, roc pointu noir
Creysselon : indique un rapport avec le cresson
Cros : donne une idée de fosse, de cavité mais peut aussi désigner une croix
Croisière : toponyme avec le sens de croisement (carrefour)
Dinechin, Dinechy : peut être se rapporte à un patronyme. Rapport avec un chien (chin, chy) ?
Douvette : semble désigner un fossé d’écoulement pour l’eau
Enclauze : terre enclavée, entourée
Enjaury, Anjaury : Enjorie, Enjory au XVIIIe siècle. Doit son nom au patronyme « Jaury » (chez Jaury) ,dérivé de jaun, jaur = seigneur).
Enteriou, Enteviou, Interier : Doit son nom au ruisseau de Millassoles qui le limite à l’ouest (« riou » = ruisseau et « anta » = avant, contre). Attesté depuis 1413 : Anterious (terrier de l’évêché de Die) ; en 1607 : Antarioux et Antherioux (terrier du prieuré de Saillans) ;au XVIIe siècle : le rif d’Enterriou (parcellaire) ; au XIXe siècle : Antaripa et Antariol (plans cadastraux) et en 1891 : Antaripa, quartier et ruisseau de la commune d’Aouste.
Ferrandes : Doit son nom au patronyme d’origine germanique.
Fontclauze : indique une fontaine ou source entourée ou clôturée.
Font de Grangier : Fontaine ou source dans la propriété de Grangier (qui possède une petite ferme)
Font Chatet : Fontaine ou source dont l’eau est claire et pure
Fontagnau, Fontagnieu : Fontaine ou source, dérivé d’un patronyme (Lanya)
Gensonnenche, Genssonnenche, Geyssonnenche : désigne une propriété appartenant à un homme dénommé Gessius.
Grand Lauzenc, Grand Lauzens : quartier nommé en rapport au ruisseau qui prend sa source dans la forêt de Saoû, traverse les communes de Piégros-Ia-Clastre et d’Aoûste et se jette dans la Drôme. Anciennement nommé. — Rivus de Lousono, 1413 (terr. de l’év. de Die). — Rivus de Leuzens, Lou grand Louzens, 1508 (terr. de Quintel).— Le rifz de Louzent, 1660 (ibid.). – Losens, 1605 (parceil. d’Aouste). Louzens, 1608 (terr. de Quintel). Lauzain (Cassini) – Lauzent au XIXe s. C’est un toponyme avec le sens de pierre plate, dalle schisteuse.
Grangier : patronyme, désigne soit celui qui possède une grange (au sens de petite ferme), soit celui qui engrange les récoltes.
Jaterie, jutarie, juterie : indique un lieu de réunion de juifs; quartier juif
Jullians : Le nom vient du latin Julianus, lui-même dérivé de Julius.
La Chabre : désignant soit celle qui est agile comme un chevreau, soit par métonymie une jeune gardienne de chèvres, soit encore un lieu ou viennent les chèvres.
La Clause : désigne un enclos, un domaine rural.
La Condamine : Ce terme issu de l’occitan est employé pour qualifier les terres seigneuriales aux alentours du XIIe siècle et dont la signification littérale est » prairie appartenant au seigneur » . Terre exempte de redevance féodale. Cette appellation est aussi donnée à la terre arable dans certaine régions du sud de la France. Désigne une terre que le seigneur n’a pas attribuée à un particulier.
La Croix : Ce quartier se situait entre la route du Pas de Lauzens et le ruisseau de Lauzens, face aux Terrasses au sud et au Serre de la Reboule au nord. Devait son nom à l’implantation d’une croix au XVIIIe siècle.
La Croste, La Crote, La Crotte : toponyme qui a le sens de souterrain, caverne, grotte.
La Font de la ville : la source qui alimentait le village
La Font des graviers de la Tour : il s’agit d’une source coulant des graviers au pied d’une des tours du village
La Gardette : Son appellation peut venir d’un pâturage réservé, d’une borne destinée à garder une limite mais aussi une petite tour de garde. Mentionnée au XIIIe siècle « el serre de la Gardeta » (le fieus de lévesque)
La Planche : le nom évoque en général une passerelle (planche pour passer un cours d’eau).
La Rabonnenc, La Rabonnère : toponyme indiquant une terre plantée de petites raves (Rabonne)
Le Rouyet : toponyme indiquant un lieu où pousse le chêne rouvre mais aussi indique un fabricant de roue de charrette.
La Sarpe, la Serpe : terrain ayant la forme d’une serpe
Lavignac, Lavignas, Lavignat : toponyme indiquant le domaine de Lavinius, nom d’homme latin.
Lauzens, ruisseau prend sa source dans la forêt de Saou, traverse les communes de Piégros-la-Clastre et d’Aouste et se jette dans la Drôme — Rivus de Lousono, 1413 (terr. de l’év. de Die). — Rivus de Leuzens, lou grand Louzens, 1508 (terr. de Quintel).— Le rifz de Louzant, 1660 (ibid) — Lausens, 1635 (parcell. d’Aouste). — Lousens, 1608 (terr. de Quintel). — Lauzain (Cassini) – Lauzent au XIXe s. C’est un toponyme avec le sens de pierre plate, dalle schisteuse.
Lenteaume, Lentelme : quartier doit son nom à un patronyme d’origine germanique, Landhelm (land = pays + helm = casque)
Les Blaches : C’est un toponyme désignant un bois de chênes blancs. Le chêne blanc (ou Quercus pubescens) est considéré comme un des meilleurs chênes truffiers.
Les Broas : toponyme désignant un lieu broussailleux mais aussi un grand talus boisé
Les Ubacs, Les Ubats : lieu exposé au nord, partie d’une vallée la plus longtemps exposée à l’ombre
Leychalette : Le pas de l’Eycharette, 1639 (parcellaire) – L’Echalette. Toponyme signifiant chemin de la petite échelle, petit passage piétonnier en pente, aménagé en escalier en totalité ou en partie .
Lizoarde : patronyme féminin d’origine germanique, Isoward (is = fer + wardan = garder) ou Isohard (hard = dur)
Meanie, Myanie : toponyme indiquant : situé au milieu, à mi-chemin
Nais, Naix : désignait un routoir (fond de vallée, lieu humide dans lequel on rouissait le chanvre).
Ogier : indique un patronyme d’origine germanique, Adalgari (adal = noble + gari = lance).
Petit Bary, Barry, Petit Bony : toponyme désignant le faubourg mais aussi un rempart et un fossé. Il est aussi indiqué dans certains documents d’archives : la ruine du Barry
Petit Bouc : indique une entaille, une cavité, un trou mais aussi
Petite Rouvière : toponyme indiquant un petit bois de chênes rouvres
Pey Arnaud : désignant un sommet rocheux, un lieu escarpé une colline d’Arnaud
Peybonnet : désignant un sommet rocheux, un lieu escarpé une colline de Bonnet
Peychier : peut-être un patronyme ?
Peymée: Toponyme en rapport avec une colline (colline de Pernas?) ou colline du milieu
Peyrequatre, Peyraquatre: Cette dénomination semble rappeler l’emplacement d’un pilier carré ou d’une borne. On peut signaler que ce lieu était un site néolithique.
Peypinoux, Pimpignous : colline en forme de pomme de pin
Peyrenier, Pereynier, Pey-Reynier : Peu Reynier, 1736 (arch. de la Drôme, E 509). Indique la colline de Reynier
Peyrolland : Podium Rollandi, 1413 (terr de l’év. de Die). — Peyrolaud, I780 (arch. de la Drôme, E 545). Indique la colline de Rolland
Peyrolle : Toponyme désignant un lieu pierreux, rocheux
Puy Saint Pierre : colline dédiée à Saint Pierre
Rejoly, Rozoly, Roujoly, Roujouly : rappelle un patronyme ?
Ririet : petit ruisseau ou patronyme ?
Ristres, Rustres, Ruistres : indique le chanvre peigné, le chanvre le plus fin
Rouyet : lieu où pousse le chêne rouvre
Saumane : toponyme évoquant le sommet (som) ou l’ânesse (sauma).
Serre de Pommier : colline indiquant le propriétaire
Serre de Juriers : colline de Jury (toponyme
Siallart : d’un patronyme, semble désigner un effondrement de terrain
Somelonge : toponyme indiquant une colline allongée
Sonnalier : peut-être un rapport avec celui qui sonne les cloches
Sye : Sia, 1240 (Chartes valent.) – Aqua de Sya , 1388 (arch. de la Drôrne, E 509) – Ripparia de Sirs alias de Sio, 1508 (terrier de Quintel) – Le Rif de Sie, 1594 (délib. Cons. Aouste) – Scie, 1757 (ibid) c » d’Aouste. — Pour le quartier on a :Porta de Sya, 1413 (terr. de l’év. deDie).
Vallon : quartier doit son nom à un patronyme.
Verane : référence à un patronyme signifiant « jeune, printanier »
Vivier : toponyme indiquant une prairie marécageuse, humide